Voir la sélectionVider la sélectionEnvoyer par mailImprimerMasquer les notices
Filtrer par mot-clé
collectivité territorialeCovid-19Organisation du travailPromotion de la santéCharteDSPFranceRéférentSouffranceSyndicatsVilleurbanneaccueilachat localactivité aéroportuaireaéroportbore out syndromcatégorisationcommande publique responsableculturedomination
Filtrer par date
Moins d'un an1
Moins de 5 ans4
Moins de 10 ans6
Filtrer par type
Article8
Filtrer par revues
Revue d’Économie Régionale & Urbaine2
Santé Publique2
Migrations Société1
Nouvelle revue de psychosociologie1
Revue internationale de psychosociologie et de gestion des comportements organisationnels1
Travailler1
Filtrer par auteur
Graux, Corinne2
Bernard, Sophie1
Bounamous, Christophe1
Bourion, Christian1
Carrard, Michel1
Da Cunha, Charlotte1
Glady, Marc1
Hosy, Delphine1
Kertous, Mourad1
Leneveler, Lison1
collectivité territoriale
0sélectionnée(s)
/
8réponse(s)
(1)2>
Achat public et restauration scolaire : motivations, freins et mise en œuvre de l’achat local en Île-de-France
Résumé : Pour leur restauration scolaire, les collectivités territoriales cherchent de plus en plus à s’approvisionner en denrées alimentaires locales. Avec un focus sur l’Île-de-France, l’objectif de cet article est de comprendre comment les collectivités définissent le local, leurs motivations à s’approvisionner localement et comment cette volonté est mise en œuvre. Nous étudions les points de vue et pratiques de six collectivités territoriales au travers d’une enquête qualitative. Nous constatons que la définition du local peut varier entre et au sein des collectivités. Les acheteurs publics font face à des difficultés pouvant freiner leur capacité à acheter des produits locaux (législation, offre locale insuffisante, etc.). En nous inspirant de deux démarches concluantes, nous posons, en discussion, l’hypothèse qu’une approche mutualisée permettrait aux petites et moyennes collectivités de faciliter l’approvisionnement en denrées locales de la restauration scolaire grâce au recrutement d’un service dédié capable de développer une connaissance approfondie du tissu économique local.
Résumé : Introduction : À Bagneux, ville populaire d’Île-de-France, lors de la première vague de la crise sanitaire liée à la pandémie de la COVID-19, différentes catégories de professionnels ont été mobilisées et ont dû changer leur habitude pour répondre aux besoins du public. Objectif : Recueillir la parole de différents acteurs, issus du secteur social, médical, de la citoyenneté, de la prévention et de la santé mentale, sur l’expérience vécue lors de la première vague. Méthode : Étude qualitative par entretiens individuels semi- directifs. Résultats : Les résultats montrent une redéfinition des missions, une adaptation au niveau de l’organisation du travail, un développement et un renforcement de liens partenariaux, ainsi qu’une reconfiguration des formes relationnelles avec les usagers. Au niveau des connaissances, on peut noter une acquisition des connaissances scientifiques et des apprentissages techniques. Conclusion : Les liens entre partenaires, collègues, bénévoles, habitants se sont renforcés ; les agents ont appris à mieux se connaître. De nouvelles techniques ont été découvertes. Dans une période particulièrement difficile, le rôle qu’ils jouent habituellement en matière de promotion de la santé est apparu comme essentiel. Celui-ci demandant à être davantage capitalisé.
Résumé : L’objectif de cette étude est d’identifier les effets de la mise en place de la DSP sur l’activité des aéroports. Elle est réalisée à partir des données de la DGAC sur des aéroports ayant une activité régulière de 1990 à 2017. Ces données caractérisent sept variables : nombre de passagers, mouvements d’avions, nombre de compagnies et de dessertes, taux de remplissage et nombre de tonnes de fret. Plusieurs résultats sont obtenus. Le premier souligne le transfert d’activité au profit des aéroports en DSP avec une augmentation du nombre de passagers des compagnies low cost. Le second montre une baisse du nombre de compagnies desservant les aéroports sous DSP avec une hausse en parallèle du taux de remplissage.
Résumé : RésuméCet article propose d’examiner en termes de droit ce que représente « le tournant local » des politiques d’accueil1 dans la pratique d’une collectivité territoriale, celle de Villeurbanne. Face aux situations sociales précaires des personnes exilées2, les citoyens somment leurs élus locaux d’agir pour les accueillir, s’indignant qu’aucune réponse concrète ne leur soit apportée. Grâce à la Clause générale de compétence3, la Ville fait preuve d’une souplesse d’intervention et répond de façon pragmatique à un certain nombre de besoins sociaux des personnes exilées, témoignant le plus souvent d’un « bricolage institutionnalisé »4. Le développement d’une politique d’accueil véritablement structurée est le fruit de nouvelles initiatives locales impulsées par les citoyens, qui s’appuient sur la volonté politique des élus locaux et collaborent avec le personnel technique. Ainsi, ce nouveau système d’acteurs contribue à transformer le droit à travers l’émergence d’une nouvelle compétence. Agissant face à la défaillance des autorités nationales et supranationales, en protégeant les droits fondamentaux des personnes exilées, la Ville dépasse les verrous juridiques nationaux et affirme son rôle politique dans l’accueil. Si l’accueil des personnes exilées fait habituellement l’objet de compétences étatiques ou supra-étatiques, la réalité sociale et humaine des migrations récentes nous encourage aujourd’hui à mener une nouvelle lecture en droit des compétences locales induisant une réflexion quant à l’architecture institutionnelle.
Résumé : Cet article est une retranscription partielle et subjective de l’expérience de l’auteur, en tant que praticien psychologue dans le service de santé au travail autonome d’une institution. Il vise d’abord à objectiver le vécu et l’expérience des rapports sociaux de domination, par l’auteur, au sein de cette structure. Sont ensuite décrites quelques-unes des stratégies déployées, individuellement ou collectivement, pour penser au sein de cette collectivité territoriale des interventions de prévention inspirées de la théorie sociale, du sujet et de l’action que porte la psychodynamique du travail. L’auteur propose enfin quelques analyses sur les liens entre l’organisation spécifique du travail dans cette institution (empruntant largement au dogme gestionnaire) et les possibilités de mise en œuvre de modalités d’enquêtes en psychodynamique du travail.